Poèmes

Vivalse

par Philippe Rousseau

Il n’y a pas que toi à qui j’ai dit je t’aime
Ainsi va la vie, c’est la vie
Il n’y a pas que toi qui me l’aies dit
Là, il n’y a que toi au mitant de ma vie
Ainsi va la vie, c’est la vie
À qui je dis je t’aime, le restant de ma vie

Mu par l’avide de ce passage
Ému de me mettre à nu
J’ai l’envie, avide, de n’être pas sage
Mon corps sage lié à l’extrême
Ton corsage usé jusqu’à la trame
Du désir vulnérable d’être l’aimable en ton âme

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