Il n'y a que la nuit,
Et ses intermittences
Où tombe du soleil
Sont des provocations.
Je sui3 enracinée
Dans le grondement de la pierre.
Je tiens mon fils,
J'ai peur
Qu'il n'aille vers le jour
Et que la pierre alors
Ne nous refuse.
Poème publié et mis à jour le: 12 March 2014