Qui sont-ils sans masques aucuns ces pays dans les hauts cordages de ma tristesse ?
qui sont ces hautes collines qui se taisent dans les grandes largeurs de ma parole d'automne ?
tous les dieux vaincus du siècle ont encore une mer à traverser sans papiers et les larmes aux yeux !
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012