Oui, amie Algérie
J'ai entendu !
Le vent du désert
A soufflé ton nom
La vague de mer
A porté ton cri
Jusqu'à moi
Honteux et surpris
En ce lit froissé
Peuplé de mauvais rêves
Où, depuis trop longtemps
Tournent les sinistres ombres
De tes sombres jours
Qui violent mes nuits
Enfantant ma fièvre.
Te voilà réveillée, Amie :
Je vais enfin dormir.
28 octobre 1997
zadig92000
Extrait de:
mon second recueil de poésie "Aux quatre vents 2"