Et rodrigue sa pente,
Et monocle son chemin,
Et plus de moins de sépias que de grandes vestes;
Ne nous n'avons-nous pas trouvé si tristes.
Ni le lui n'avons li pas si bien chantés,
Ni si pas, ni pas tant, ni tant bien,
Ni gros-gros qu'ils furent prêts de s'en apercevoir,
Que nous chantâmes «
Navions,
Navions,
Navions que nous aimâmes jusqu'à la garde. »
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012