Des frontières à jamais foulées.
Si nous en revenions le temps d'une marée.
Si nous réécrivait ce qui nous efface.
Ici air à chanter là air à danser.
Jusqu'à l'heure d'aller par le vent.
Nous aurions oublié la longue marche.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012