Par-delà les eaux gonflées l'œil se sèche
au beau feu qui brûle au loin sans paupière et sans manteau
Cœur
de brèches agrandi
pareil au
Cotisée
Hectare après hectare le jour que je vois mûrir c'est mon jour qui mûrit dans l'œil de la journée
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012