Que soient sertis par les diamants de la ferveur
Les filaments sentis de patience amoureuse
Au temps sorti des linéaments du bonheur
En portant les sarments de révolte heureuse
Maintenir ouvertes les portes du moment
Afin que sorte du labyrinthe du monde
Cette joie qui ne nous éreinte dans nos rondes
Qu 'elle rentre en ces nouveaux jours en y essaimant
La trame d'étoiles nous l'avons assurée
Sur la scène des trolls en habits de soleil
Qu 'elle se maintienne comme école de veille
Dans son éclat habituel en nos mains serrées
De monstre en monstre Molloch cherche le relais
A montrer Bételgeuse perdant son rouge lait
Il écume de rage et s'attelle à la Gueuse
Qui scelle sa page à l'urne bleue où il creuse
Auroch en sa patience est à la galaxie
Et pauvre Murdock sur terre reste assis
Il perd sa science qui – désormais – n'est sauve
Qu'en guerre où il nous tient au silence d'alcôve
Confiance ! Le terreau s'alimente en lumière
Qui ne bute ou ne se ferre à « science héroïque »
On entend sa distance à ses fausses musiques
Se gaussant de sa flûte or qui hante leur terre