Le sable où nos pas ont crié, l'or ni la gloire,
Qu'importe, et de l'hiver le funèbre décor.
Mais que l'amour demeure et me sourie encor
Comme une rose rouge à travers l'hombre noire.
Poème publié et mis à jour le: 21 November 2012
Le sable où nos pas ont crié, l'or ni la gloire,
Qu'importe, et de l'hiver le funèbre décor.
Mais que l'amour demeure et me sourie encor
Comme une rose rouge à travers l'hombre noire.
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