Poèmes

Le Parfum

par Mohammed Dib

Cette porte ouverte.

Le miroir sur la cheminée.

Et eux qui entraient.

Un à un ils revenaient
Eux tous qui furent partis,
Et une le sexe dévoilé.

Une, l'enfant vit.

Son parfum circula.
Une

Il pouvait la toucher.

Prêt à tendre les doigts.
Il disait : je pourrais où
C'est le plus noir.

Prêt, les doigts tendus.
Dans la glace il se voyait.
Il disait, je pourrais.



Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012

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