Beauté de cette aisselle où perle
une sueur déjà d'agonie
Si quelque neige à l'envers de la lumière
éclaire un creux
Dans ta cave une lumière perlée entre l'herbe
des morts
Aisselle ô tombe à mon crâne approché en toi
et qui se repose
Comme beauté de ce repos définitif
Sous l'herbe des morts et la neige
Aisselle à l'envers de toute lumière
Quand les anges chanteront ou se tairont
dans la cave
El que l'on se souviendra de ton creux moiré
à l'air libre
Un jour mon crâne en toi ce repos avait cherché
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017