portait le ciel en tête
né d'un désir de lumière l'oiseau portait son chant
les pierres sacrées empruntaient leur forme au soleil à la lune
et toujours la terre portait le ciel en tête
puis vint l'homme sa détresse extrême
autour de son cri
la gangue du silence
dans son regard plus qu'ailleurs
la mort
car tout finit
par être ce qu'il contemple
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012