la mer de caro
Un doigt de moustache dans des cieux vagabonds.
Une mer pour visage aux yeux d’horizon.
Un visage de son teinté d’une image qui en dit long.
Un train de lumière, un trait visionnaire.
Une roche de nuit sculptée de jour par des doigts qui désemparent.
Dans un clapotis émietté d’un bleuté de regard
Par le doigt du photographe qui s’égare
Là où l’instant d’un moment fige le beau dans son éternité.
Parle-moi de ton cœur que soulèvent les vagues... soudainement émoustillées
Un doigt de moustache dans des cieux vagabonds.
Une mer pour visage aux yeux d’horizon.
Un visage de son teinté d’une image qui en dit long.
Un train de lumière, un trait visionnaire.
Une roche de nuit sculptée de jour par des doigts qui désemparent.
Dans un clapotis émietté d’un bleuté de regard
Par le doigt du photographe qui s’égare
Là où l’instant d’un moment fige le beau dans son éternité.
Parle-moi de ton cœur que soulèvent les vagues... soudainement émoustillées
par ton regard doux reflet des caros qu’ouvrent des fenêtres d’hasard