La quête de l'Eternel commence
par des aboiements, des vomissements, des larmes.
Trois fois : ayez pitié !
Seigneur,
Christ,
Seigneur.
La bête et l'âme : un seul psalmiste.
Les cierges bleuissent,
les abeilles perdent leur aiguillon,
les paroles quittent le mort.
J'ai un mot pour pourrir :
Eternel, tes lèvres m'emporteront la bouche.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012