Le
Valais au moment de mon départ était plus beau que jamais : frais, froid, pur et blanc.
Blanc sous toutes les teintes et les rochers comme du cristal liquide.
Le
Valais était limpide et ensoleillé.
Et moi je l'ai salué pour toujours.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012