Ridée l'outre graisseuse du piètre personnage
tourné le cœur suri
éteint l'œil globuleux
ils l'abandonnent à la songerie maussade
qui gravit la côte mal empierrée de son cerveau
peu à peu s'élevant en effluves
du fond de ses lombes sales
Entre cheveux et doigts de pied
rien ne pourra rendre aérienne une certaine crasse de
l'âme pas même l'ascèse qu'ils lui infligent bourreaux à dos pour l'infini courbés par le zéro férocement clos de leur question
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012