En vérité, quand je dis : «
Grand et fort. «
Ainsi va le mort. «
Quel est le vivant, «
Qui en ferait autant? »
Le mort, c'est moi.
En vérité, quand je dis :
«
Ne mettez pas les parents dans votre jeu,
«
Il n'y a pas de place pour eux,
«
Et la femme qui a enfanté a été jusqu'au
bout de ses forces, «
Il ne faut pas lui en demander plus, «
Et ne faites pas tant d'histoires, «
Le malheur c'est tout à fait naturel »,
En vérité, la femme ce n'est pas moi.
C'est moi le bon chemin qui ne fait rebrousser personne.
C'est moi le bon poignard qui fait deux partout où il passe.
C'est moi qui...
Ce sont les autres qui ne pas...
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012