On la vit dehors.
On la vit à la porte.
Vit devenir statue.
Blanche, on la vit
Aux prises avec le jour.
Puis hure et griffes
Devenir un rêve de tigre.
Et le cri qu'elle eut
Pour se faire connaître.
Et le calme qu'il y eut.
L'œil ouvert qu'il y eut.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012