Il en est bien embarrassé de sa double-tête et bien mieux s'en tirerait avec une seule.
Une pour penser, ça va.
Une à l'autre bout pour évacuer, c'est moins bien.
C'est même une affreuse gêne et qui le conduit plutôt à choir.
Double-tête n'en a cure.
C'est fait.
C'est terminé.
Si fort que ses intentions aient pu changer, la forme est prise et lui dedans.
Il n'a qu'à continuer, malgré l'erreur à présent évidente.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012