Vous avez entendu toutes ces mains au cul
Et qui se glissent aux interstices des cuisses
Ont sans doute dans leur jeunesse mal vécu
D’avoir été piégées par des douaniers suisses
Les informations nous révèlent l’horreur
De l’instituteur qui gardant Bill et Charlotte
Punissait sans pitié leur même « énorme » erreur
En leur délastiquant autant slip que culotte
Cela ne mange pas de pain frais mais rassis
Et l’abbé Ferrand qui me caressait la fesse
En se tenant debout d’un coup fou s’est assis
Et prit mon zizi sans que son esprit s’affaisse
La vie est vive par sa sexualité
Jamais complètement assumée ni gérée
Et les bas instincts sur cette dualité
Confessent qu’ils ne l’ont qu’à demi digérée
Cependant le subtil jeu de la séduction
Est bien plus important que le passage à l’acte
Et j’en arrive à la fin à la déduction
Que ce qui plaît le plus au théâtre est l’entracte.