Sur pierre angélique : herses noires en bouquet
Et ce fer noir en cœurs et fleurs lui donnant cœur gai
Entre souffle des fauves divers haletants
Et bouffées de piétons sur lactescents étangs
Et la Marianne noire signe de sa main
Sur le plafond blanc qui insiste sur la ville -
La trame de mémoire où cent soleils non serviles
Ont clamé sur fond de moire : feu de demain
La vent par à-coups nous rend visite aujourd'hui
Et l'hiver penche son cou avec insistance
Il est sans mèche pour trancher avec ses lances
De neige les corps du prince sans appui
Si Paris chante encore au merle du matin
Quand nul pari ne hante en gel de perles
C'est que les trolls solaires pour l'échappée belle
En école solidaire appellent mutins
Dans l’œil de l'instant en mire au feu qui glisse
L'avenir pour le beau soleil de la Justice...
L'écho de pince à Grande Misère viendra
De la guerre du Prince en chaos où il choira
Le 15-01-2020
Place de La Nation
Au sujet de MinodAlain
A Propos
"La ville où le nulle part a lieu" Édition Librairie Galerie Racine
"La ville où le nulle part a lieu" - sous-titre : "Le proche et le lointain" Collections Poètes des Sans Continents
Éditions POLLYGLOTTE
Poème publié et mis à jour le: 17 January 2020