Le
Malheur siffla ses petits et me désigna. «
C'est lui, leur dit-il, ne le lâchez plus. »
Et ils ne me lâchèrent plus.
Le
Malheur siffla ses petits.
«
C'est lui, leur dit-il, ne le lâchez plus. »
Ils ne m'ont plus lâché.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012