Le
Grand
Azuré, cette année, sa
Tour pencha.
Le
Grand
Azuré, la vermine en sortit et le recouvrit et tous les siens en furent recouverts.
Cela advint par méfortune, ensuite d'un coup malheureux.
Comme il était hébété par la chute et tassé dans le coin, on jeta l'éponge pour lui.
Oh!
Douleur!
Il n'eut pas le temps de lever le voile de ses paupières, que déjà c'était fait...
L'oscillatoire fait dormir.
L'éruptif fait frémir.
Il sortit d'une tête insignifiante un jet incroyablement forcené.
Cependant médiocre et ridicule et s'ébroua le peuple, et s'ébroua le continent sous l'éperon méchant.
Tuant, disant semer, tuant, tantôt à l'ouest, tantôt à l'est.
Sa charrue faisait sur les cailloux un bruit retentissant.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012