Écoute le chant progressif du chien d’Ararat,
le vent du désert qui dessine la fausse porte de Dogon!
Fixe ton regard sur
la rage du lion
et non pas
les rayures de nos zèbres sur mon corps guerrier!
Avale la douleur des blessures,
suit l’eau des puits en fuite,
les mystères de nos dieux qui s’éloignent
et
Attrape le gémir de leurs bêtes,
les mensonges de nuit,
les profanes de nos jours,
Puis
vis
le jour de clôture!
ABOI AU CLAIR DE LUNE
par Rusu Mirela