L'épine la piqua. Le sang se précipita.
Insensible.
Le lendemain elle sentit la douleur, la vie en rose.
Le troisième jour, elle les coupa
Et sans amour les mit dans son calice, une à une;
Le quatrième jour, comme si elle pouvait tout arrêter, huma leur parfum pâle
La pierre s'ouvrit devant son visage;
Paix à son roi !
La femme et la rose
par Rusu Mirela