Ada, la femme errante, des jours déserts,
Reine sédentaire de nos tribus inertes,
Couverte de l’eau,
tu caches le gage du fleuve vieux,
de son tangage.
Ada, amour limite de l’esclavage,
honneur drapé en oasis,
Personne n’oublie tes douces caprices et tes délices,
désirs sucrés en baklavas,
en roses loukoums et helvasi,
Arrêts des barques en Roumanie.