Ah ! vraiment c'est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal.
D n'est pas permis d'être " à ce point infortuné.
Ah ! vraiment c'est trop la mort du naïf animal
Qui voit tout son sang couler sous son regard fané.
Londres fume et crie. Ô quelle ville de la
Bible !
Le gaz flambe et nage et les* enseignes sont vermeilles.
Et les maisons dans leur ratatinement terrible Épouvantent comme un sénat de petites c vieilles.
Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit
Dans le brouillard rose et jaune et sale des sohos d
Avec des indeeds et des ail rights et des haôs ".
Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance.
Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est triste Ô le feu-f du ciel sur cette ville de la
Bible !
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012