Une aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants.
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon cœur qui s'oublie
Aux soleils couchants.
Et d'étranges rêves ,
Comme des soleils
Couchants sur les grèves,
Fantômes vermeils.
Défilent sans trêves.
Défilent, pareils
A des grands soleils
Couchants sur les grèves.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012