Sept notes pour la flûte enchantée
Autant pour tout nu et tout bronzé
Sept notes pas plus que les sept nains
Ou les sept secondes des venins
Qui s’ils tuent une flûte enchantée
Tuent aussi le cul nu tout bronzé
Sept péchés trustent les capitaux
Autant pour le jeu des sept familles
Sept péchés demandant les pardons
Ou les sept euros laissés par dons
Qui tuent les sept péchés capitaux
Et enjouent le cœur de sept familles
Les sept sont merveilles de ce monde
Des jours des travaux puis du repos
Sept années sont liées aux malheurs
Suivies par mille années de bonheurs
Qui tuent la plus grosse bête immonde
Cette bête absente du propos.
Poème publié et mis à jour le: 12 October 2018