Mille ombres
sur la face du soleil
couleurs du temps
et arcs-en-ciel
Comme le roulis des vagues
ton regard remue mes entrailles
Je n'ai plus de larmes
La parole est une vieille suffocation
Le silence m'a emporté vers le labyrinthe
de ma tristesse familière
C'est en te retrouvant
que je me suis perdu
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012