Passages !
Et de nouveau la mort et de nouveau la vie.
Que je ne sache plus ce qui en moi veut vivre
Ou veut mourir.
Surtout ne pas entendre et ne pas regarder,
Ne pas savoir !
Et que la flamme éclate et lacère le sang
Le beau désir, de soi-même inconscient,
Qui brûle et meurt de vivre et redescend
La pente de l’oubli, le grand trou bourgeonnant
D’où le feu naisse, et monte et recommence.
Poème publié et mis à jour le: 24 June 2019