Rends-toi, mon cœur.
Nous avons assez lutté.
Et que ma vie s'arrête.
On n'a pas été des lâches,
On a fait ce qu'on a pu.
Oh! mon âme,
Tu pars ou tu restes.
Il faut te décider.
Ne me tâte pas ainsi les organes,
Tantôt avec attention, tantôt avec égarement,
Tu pars ou tu restes,
Il faut te décider.
Moi, je n'en peux plus.
Seigneurs de la
Mort
Je ne vous ai ni blasphémés ni applaudis.
Ayez pitié de moi, voyageur déjà de tant de voyages sans valises,
Sans maître non plus, sans richesse et la gloire s'en fut ailleurs
Vous êtes puissants assurément et drôles par-dessous tout
Ayez pitié de cet homme affolé qui avant de franchir la barrière
vous cne déjà son nom.
Prenez-le au vol,
Qu'il se fasse s'il se peut, à vos tempéraments et à vos mœurs bt s il vous plaît de l'aider, aidez-le, je vous prie.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012