Mes deux mains à l'envi disputent de leur gloire
Et dans leurs sentiments jaloux
Je ne sais ce que j'en dois croire
Phylis, je m'en rapporte à vous :
Réglez mon amour par le vôtre.
Vous savez leurs honneurs divers :
La droite a mis au jour un million de vers ;
Mais votre belle bouche a daigné baiser l'autre.
Adorable
Phylis, peut-on mieux décider
Que la droite lui doit céder ?
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012