Par le silence de l'étonnement intérieur
je touche et j'entends les échos excitant
un peu comme l'attrait d'un corps de femme
caressé sans cesse par la lumière du temps
leur son enivre aussi net et palpable
que le ressac lointain d'une mer infinie
fait entendre ses modulations aux diables
aux seuls authentiques confins de l'envie.
Février 2014
Extrait de:
Poèmes à entendre