La nuit été devenue folle
des saisons il n'y en avait plus
le ciel plein d'auréoles
semblait dire, je n'en peut plus...
Mais les arbres tous, attendaient
un été ou un automne particulier
leurs feuilles aussi pouvaient briller !
Début ou fin, le fléau n'épargnait personne
curés ou échevins; les enfants le nomme,
leur plus beau fantôme, averti du destin...
Extrait de:
3ème recueil en devenir