. À tous ceux et celles qui ont frémit aux rythmes enchanteurs et aux paroles cinglantes de celui dont le nom figure en acrostiches. Au chanteur Libanais Marssil Khalifa, je dédie ce poème :
Minuit passée et l'hystérie continue,
Airs spasmodiques de celui qui fût
Rêve mythique tant attendu,
Sorcier de la parole qui enflamme la foule,
Sacerdoce digne du respect absolu.
Il clamait tout haut : " Non, non et non ",
La foule en délire répondait en écho...
Khalifa de la lutte et non calife du pétrole.
Hommage rendu aux enfants de la pierre
Aux partisans, à tous les déshérités de la terre.
L'enthousiasme prônait en cette soirée,
Il chantait l'amour et professait la paix
Fiction, idéalisme ou chimères ?
Non ! : Amour de la liberté, de l'homme et de la terre.