Mes chaudes mains, baigne-les
Dans les tiennes... Rien ne calme
Comme d'amour ondules
Les passages d'une palme.
Tout familiers qu'ils me sont,
Tes anneaux a longues pierres
Se fondent dans le frisson
Qui fait clore les paupières
Et le mal s’étale, tant,
Comme une dalle est polie,
Une caresse l’étend
Jusqu’à la mélancolie.
Poème publié et mis à jour le: 30 May 2023