La nuit obstrue
de ses amples cadavres
la poitrine de l'épervier
La terre entière, pour lui
n'est qu'un étau
Cette nuit, il s'envolera vers le ciel
vers les zones obscures
concentré sur son chemin :
il repliera la tente de la nuit
et tirera le soleil
dans l'espace
vers le mitan du ciel
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012