Elle vit avec moi du matin jusqu’au soir
Et je dirais même plus elle est dans mon ventre
Je ne la connais pas j’imagine un roc noir
Qui se déplace mon cœur mon foie mes reins entre
Souvent je la situe à mon réveil au centre
En bas du sternum et je la sens qui va choir
Encore un peu plus bas où jamais quelqu’un n’entre
A part une bête furtive genre loir
Je la ferai sortir un jour je sais comment
En m’asseyant sur la lunette des toilettes
Et je pousserai fort jusqu’au fatal moment
Où je verrai ce qui me causa du tourment
Peut-être ongles tétons pelotes d’épaulettes
Ingérés en aimant des Lysons des Paulettes.