Chacun peut bien de cette autre
Diane
La beauté voir jointe à la chasteté
Mais je suis seul qui voy la
Sainteté
Du clair esprit par le corps diaphane :
Par ce corps là, non pas corps, mais le fane
D'une nouvelle et haute deité,
Fane, lequel (impie iniquité!)
L'irreverente ignorance prophane.
Donc moy qui suis de si belle lumière
Illuminé, et voy par la verrière,
Nue, sans voile, et sans fard la vertu,
Dévotement, en basse révérence
Religieux, j'adore ta presense,
O mon idole, à tes piedz abbatu.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012