qui n'était pas un lieu
mais une promesse un sommet un lointain souvenir une écume
j'étais cet œil invisible au fronton des deux rives
j'étais cette bouche invisible que vent et soleil provoquaient au chant
invisibles les mots rêvaient le poème qu'une main de lumière calligraphiait au revers de la nuit
et du corps lui aussi invisible naissait une ombre humaine
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012