C'est sans retenue, que la tenue ,
Vêtue de son complet, de vers émaillé ,
Offre, aux regard, d'acier entendu,
Les vestiges dune beauté par le temps érodée :
détenue par les songes silencieux et sanglotant,
Le bonheur, en haillon implore le temps
De Le dévêtir de ses oripeaux :
La jeunesse, de son air faraud
A dépravé son humilité
et désormais, les verges de la richesse
sont perdus au loin dans son enfances
les étés, ou les rire batifolaient
avec la plénitude des sens le harcèle sans cesse
depuis, l'insouciance se meurt dans ses yeux
et ses mains caleuses pleurent de lassitude.
les gens, pressés, le regardent à peine
comme une vermine, déchue de l'humanité
sans voir, au fond de son regard
ses regrets qui pleurent dans ses yeux
il quémande, d'un complet, déchiré
par les ténèbres
les miettes d'une vie
refoulée au loin, dans ses souvenirs.