Plus ne suis ce que j'ay esté,
Et ne les sçaurois jamais estre ;
Mon beau printemps et mon esté
Ont faict le sault par la fenestre.
Amour, tu as esté mon maistre :
Je t'ai servi sur tous les dieux.
O si je pouvois deux fois naistre,
Comme je te servirais mieulx !
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012