Tant est l'amour de vous en moi empreinte.
De vos désirs je suis tant désireux,
Et de déplaire au cceur ai telle crainte,
Que plus à moi ne suis, dont suis heureux.
A d'autres saints ne s'adressent mes vœux.
Toujours voulant, de peur de faire offense,
Ce que voulez, et non ce que je veux,
Ce que pensez, et non ce que je pense.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012