Si j'ai comptant un beau cheval payé,
Il m'est permis de dire qu'il est mien.
Qu'il a beau trot, que je l'ai essayé,
Et ce faisant cela me fait grand bien.
Donques si j'ai payé comptant et bien
Celle qui tant sous moi le cul leva,
Il m'est permis de vous dire combien
Elle me coûte, et quel amble elle va.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012