(Qui avait dessiné le portrait de la sœur de Mme. Delille.)
Bénis soient tes crayons, ô toi, jeune beauté !
Qui de nos Rosalba suivant déjà les traces,
À mes yeux consolés retraces
Avec tant d'élégance et de fidélité,
Celle qui m'adoucit ma triste cécité :
C'est le portrait de la Bonté,
Dessiné par la main des Grâces.
Extrait de:
Poésies fugitives (1807) Poème publié et mis à jour le: 13 July 2017