A la douceur du temps nouveau les bois feuillissent les oiseaux chantent
chacun en son latin selon les vers du nouveau chant il est donc
temps de se procurer ce que l’homme désire le plus
De là d’où tout m’est bon et beau je ne vois messager ni lettre aussi
mon cœur ne dort et ne rit et je n’ose faire un pas en avant avant
de savoir si la fin sera celle que je désire
La notre amour va ainsi que la branche de l’aubépine qui est sur
l’arbre en tremblant la nuit dans la pluie et le gel le lendemain le soleil
se répand par les feuilles vertes les rameaux
Je me souviens encore du matin où nous avons mis fin à la guerre elle
m’a donné ce don si grand son amour entier et son anneau que Dieu
me laisse vivre encore tant que j’ai mes mains sous son manteau
Poème publié et mis à jour le: 25 October 2022