Non je ne voulus pas cher Denis que tu fusses
Mon ami comme le fut l’illustre Jean d'O
Et bien que n’usa pas ta peau avec les Russes
Tu ne fis pas partie du même commando
Oh oui tu combattis les principes de gauche
Mis en exil et à l’abri des compromis
Mais l’excessif jouir même un homme droit fauche
Et tu n’as pas compris ce que Dieu t'a promis
Te voici cher Denis natif de la Corrèze
Proche de ce Jacky mort un an avant toi
Sans pouvoir avoir le choix du roi Louis treize
Qui vous aurait couchés sous un pauvre avant-toit
C’est ainsi Denis que tu partis l’âme basse
Comme une queue que ne remue plus un dahu
Seras-tu accueilli par une calebasse
Ce si tranquille fruit ennemi du chahut ?
Au sujet de Jean Michel BOLLET
A Propos
Je fus consul de France
jmbollet@mailo.com
Poème publié et mis à jour le: 15 January 2023