Girandoles au front des faunes,
Guirlandes d’azur dans les mains
Des amours graciles qui trônent
Sur le velours des boulingrins.
Frêles bracelets de pervenches.
Bleus anneaux de myosotis
Aux pieds nus d’une nymphe blanche
Immobile parmi les lis.
O fête éternelle et sereine
D’une adorable Trinité.
Présence exquise et souveraine
De beauté, de Joie et d’Été.
Poème publié et mis à jour le: 29 August 2022