Sur les lèvres du désir,
j'ai cueilli un coeur fragile ;
Blotti contre l'orgueil
il se laissait déshabiller de ses vanités :
une à une je retirais ses peurs
et enlaçais de mes baiser
ses regards timides
j'ai redécouverts les soleils
endormis de la jeunesse
et lui se laissait faire
ses craintes apaisées
il s'est lové contre mes promesses
et je savourai cette quiétude retrouvée.
sur les lèvres du désir
par caroline baucher